Autrement dit, la promesse unilatérale, très courante en droit immobilier, offre à son titulaire un accès privilégié à un bien donné. Ainsi, le bénéficiaire d’une telle promesse, pourra pendant un délai défini par les parties, conclure le contrat en levant son option c’est à dire par sa simple acceptation.
Il devra en contrepartie verser au promettant ce que l’on appelle une indemnité d’immobilisation (10% de la valeur totale du bien) qui sera déduit du prix de la. La promesse unilatérale de vente est un avant-contrat qui scelle un engagement entre un vendeur et un potentiel acheteur.
Il s’agit de l’avant-contrat ayant pour objet la conclusion d’un contrat de vente, dont les conditions essentielles (la chose et le prix) sont déjà déterminées.
Mais le contrat de vente n’est pas encore formé car il faut que le bénéficiaire de la promesse donne son consentement à la vente, c’est-à-dire accepte d’acheter la chose ! Elle fixe un délai au cours duquel le vendeur peut "lever son option" et accepter de vendre aux conditions prévues au contrat. C’est un avant-contrat dans lequel le vendeur s’engage à céder son bien immobilier à un prix donné à un acheteur.
Il lui donne ainsi en exclusivité une "option" pour un temps limité (généralement deux à trois mois). Lorsqu’une promesse unilatérale est signée, elle engage le propriétaire à vendre le bien à un acquéreur qui reste dans un premier temps libre d ’acheter ou non. La formulation de délais est nécessaire pour cadrer cette promesse.
Vous vous engagez sur un prix auquel vous êtes prêt à acheter le bien dans un délai défini. Cependant, rien ne vous garantit que le bien sera vendu.
Simple, rapide et 100% ligne. Elle contient un engagement du promettant (le lotisseur) de vendre un lot à des conditions prédéterminées.
Il existe aussi des promesses unilatérales d’achat, même si elles sont plus rares dans la pratique. Très rarement utilisé, la promesse unilatérale d ’achat (ou PUA), fait également partie des avant-contrats de vente immobilière. Celui-ci, engage exclusivement le potentiel acquéreur d’un logement.
Fixant un délai pendant lequel le vendeur peut « lever son option » et accepter de vendre, respectant les conditions prévues au contrat. Il fait valoir que la condition est réputée accomplie au motif que le bénéficiaire n’a pas fait le nécessaire pour obtenir. La PUA est la plus rare forme d’avant-contrat en vue de l’implication qu’elle exige de l’acquéreur.
A l’occasion de la signature d ’une promesse unilatérale de vente, l’acquéreur doit verser une indemnité d ’immobilisation. L’offre de contrat de travail ou la promesse unilatérale a la possibilité d’être faite par écrit mais peut aussi être transmise par fax ou mail. L’essentiel est que l’employeur puisse être reconnu comme étant l’auteur de l’offre.
Il s’agit en effet d’un document qui permet au vendeur de « réserver » le bien à l’attention exclusive d’un acquéreur, en précisant un prix mais aussi une durée pendant laquelle cette préférence est valable. Celle-ci permet de bloquer un logement pour son futur acquéreur. Celui-là dispose alors d’un délai de réflexion pour « lever l’option ». Quelles règles doit-elle respecter ? En quoi engage-t-elle ses signataires ?
Le point maintenant. Promesse unilatérale. Il devra, dans la majorité des cas verser une « indemnité d’immobilisation » au vendeur. Cette distinction a un impact important sur la responsabilité de l’employeur, mais également du candidat et sur les obligations qui en découlent.
Une promesse d’embauche ne vaut pas forcément contrat de travail. Toute promesse d’embauche doit comporter au moins quatre éléments obligatoires, à défaut, la promesse n’est pas valable. Sur la forme, les deux documents sont quasi.
L’emploi, la rémunération et la date d’entrée en fonction sont déterminés mais il ne manque plus que le consentement du bénéficiaire. Soit c’est le propriétaire qui s’engage à mettre ses locaux en location au profit de l’entrepreneur, soit c’est ce dernier qui promet de prendre en location les locaux du bailleur. Elle est soumise à ce titre, aux mêmes conditions générales de validité que le contrat principal.
Si le bénéficiaire de la promesse accepte, on dit qu’il lève l’option. Ce dernier peut accepter ou non d’acheter avant une certaine date. La vente doit en principe avoir lieu. S’il refuse la vente, ou laisse passer le délai d’option, la promesse est caduque et l’indemnité d’immobilisation est perdue.
La formation du contrat ne dépend donc que du consentement du salarié. L’acheteur lui, dispose d’un délai de réflexion pour accepter ou refuser la vente.
En effet, la promesse d’embauche a été remplacée par l’offre de contrat de travail et la promesse unilatérale.
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